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Plantes toxiques pour les chevaux : protection, prévention et mesures à prendre

Das gelb-blühende Jakobs-Greiskraut, auch Jakob-Greiskraut und Jakobs-Kreuzkraut sowie Jakobskraut gilt als eine der Giftpflanzen für Pferde | Le séneçon jacobée à fleurs jaunes, également appelé séneçon jacobée et séneçon jacobée, est considéré comme l'une des plantes toxiques pour les chevaux.

Pourquoi est-il si important de connaître les plantes toxiques ?

Lorsqu’il s’agit de la santé de nos chevaux, cela implique non seulement un élevage, une alimentation et des soins adaptés à l’espèce, mais aussi une compréhension fondamentale des plantes toxiques et de leurs dangers. Les propriétaires de chevaux sont appelés à acquérir et à appliquer ces connaissances, car la toxicité des plantes pour les chevaux est souvent sous-estimée. Il est crucial de prendre des mesures à temps pour protéger les animaux des intoxications potentielles.

Gestion des pâturages : une clé pour la prévention

Le pâturage offre aux chevaux de l’air, de la lumière, de l’exercice et des contacts sociaux et répond ainsi largement à leurs besoins naturels. Néanmoins, les propriétaires de chevaux et les gérants d’écuries doivent tenir compte du fait que de nombreux pâturages sont aujourd’hui très riches en nutriments, ce qui peut entraîner un surpoids chez les chevaux et les problèmes de santé qui y sont liés, comme la fourbure. Une gestion réfléchie des pâturages est donc indispensable.

L’entretien du pâturage joue un rôle central et garantit que les chevaux puissent profiter d’un pâturage sain à long terme. Trop de chevaux sur une même surface et un manque de temps de régénération peuvent entraîner la prolifération de plantes indésirables, dont des plantes toxiques. Un broutage important détruit le tapis herbacé, ce qui crée des espaces dans lesquels les mauvaises herbes et les plantes toxiques peuvent facilement prendre pied.

Conseils pratiques pour l'entretien des pâturages

  1. Entretien automnal des pâturages : après la dernière utilisation en automne, toutes les déjections doivent être ramassées afin de minimiser l’infestation parasitaire.
  2. Les travaux de printemps : L’entretien devrait commencer dès le printemps. Cela comprend le remorquage du pâturage, le roulage et le contrôle des clôtures.
  3. Fertilisation ciblée : Avant de procéder à une fertilisation, il convient d’effectuer une analyse du sol afin de pouvoir apporter les nutriments de manière ciblée. Veillez à ce que les chevaux ne soient pas autorisés à retourner au pâturage avant au moins trois semaines après une fertilisation à la cyanamide calcique.
  4. Protéger les pâturages : Évitez de conduire les chevaux dans les prairies humides afin d’éviter les dégâts dus au piétinement. Une mise en pâture lente au printemps est importante pour habituer le système digestif sensible des chevaux au nouveau fourrage.

Choisir les bons mélanges de semences

Il existe des mélanges de semences spéciaux pour les pâturages des chevaux, qui répondent aux exigences des animaux. Les ray-grass allemands, les pâturins des prés et la fétuque des prés ont particulièrement fait leurs preuves à cet égard. Ces variétés sont résistantes au froid et au piétinement et peuvent être utilisées sur différents types de sols.

Danger des plantes toxiques dans les pâturages

Dans les pâturages pour chevaux, il existe aussi bien des plantes souhaitées que des plantes indésirables. Alors que les graminées comme le ray-grass allemand et la fétuque des prés et les herbes comme le cumin et le plantain lancéolé sont souhaitables, les plantes toxiques comme le colchique d’automne, la prêle des marais et la renoncule piquante doivent être évitées.

Les plantes toxiques peuvent être ingérées non seulement dans les pâturages, mais aussi dans le foin ou lors de promenades à cheval. En temps normal, les chevaux évitent les plantes toxiques en raison de leur goût et de leur odeur amers. Toutefois, l’ennui, la faim ou l’ignorance peuvent amener les chevaux à consommer tout de même ces plantes.

Mesures de protection des chevaux contre les plantes toxiques

Pour éviter une intoxication, les propriétaires de chevaux doivent prendre quelques mesures importantes :

  • Entretien des pâturages : il est indispensable de contrôler régulièrement et d’éliminer systématiquement les plantes toxiques, y compris les racines.
  • Éviter le compostage : les plantes toxiques éliminées ne devraient pas être jetées dans le compost ou le tas de fumier.
  • Connaître les plantes toxiques : Informez-vous en détail sur les plantes toxiques présentes dans votre région.
  • Prudence lors des promenades à cheval : Ne laissez jamais votre cheval manger des plantes, des branches ou des feuilles qu’il ne connaît pas.

Reconnaître les symptômes d'un empoisonnement chez les chevaux

En cas d’intoxication, il est important de reconnaître rapidement les symptômes afin de pouvoir agir immédiatement. Les symptômes généraux d’une intoxication sont les suivants:

  • Transpiration abondante
  • Augmentation de la salivation
  • Comportement inhabituel
  • Difficulté à respirer
  • Convulsions et tremblements
  • troubles de l’équilibre et modification de la fréquence cardiaque
  • Pupilles dilatées

En cas de suspicion d’empoisonnement, il convient d’appeler immédiatement un vétérinaire et de placer le cheval dans un environnement sûr.

Aperçu des principales plantes toxiques

Voici quelques-unes des plantes toxiques les plus dangereuses que l’on peut trouver dans les pâturages pour chevaux :

  1. Séneçon jacobée : cette plante est particulièrement dangereuse car elle contient des alcaloïdes pyrrolizidinaux nocifs pour le foie, qui s’accumulent dans l’organisme et peuvent entraîner de graves problèmes de santé, voire la mort.
  2. Le colchique d’automne : Cette plante reste toxique même lorsqu’elle est séchée et peut provoquer des intoxications mortelles qui se manifestent par des symptômes tels que coliques, excitation et défaillance circulatoire.
  3. Renoncule : la renoncule fraîche est toxique, mais elle perd sa dangerosité lorsqu’elle est séchée. Néanmoins, son ingestion peut provoquer des troubles gastro-intestinaux, des crampes et des paralysies respiratoires.

Les autres plantes toxiques comprennent le buis, l’if, le chêne, la vigne de Gundel, le laurier-cerise, le muguet et bien d’autres encore. Ces plantes peuvent provoquer des intoxications graves, voire mortelles, et devraient donc être évitées dans et autour des pâturages pour chevaux.

Prévention : la meilleure protection contre les plantes toxiques

La prévention est essentielle lorsqu’il s’agit de protéger vos chevaux des plantes toxiques. Soyez attentif à ce qui pousse dans les pâturages, au bord des chemins et dans les environs, et agissez rapidement pour minimiser le danger. Une connaissance approfondie des plantes toxiques et un bon entretien des pâturages sont indispensables pour garantir la santé et le bien-être de vos chevaux.

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